L’annonce de la ministre de la culture nous amène à réagir face à la mort annoncée de nos activités et à la destruction de l’écosystème local.
Extrait : « Certain gros festivals vont pouvoir mettre en place leurs projets cette année mais qu’en est-il des autres, des « petits » organisateurs, qui ne pourront pas travailler dans ces conditions.
Conscients de la situation, nous pensons qu’il y a d’autres moyens à mettre en œuvre que cette idée illusoire, impossible à faire vivre pour le public comme pour nous. »